ÉRIC LE PAPE ÉLABORE SES TABLEAUX DANS LE SECRET DE SON ATELIER,

revivant encore et encore les émotions entrevues afin de les retranscrire dans leurs vérités…

Je sculpte et désculpte

dans un jeu infini et généreux en peinture.

Avec le couteau,

je passe et repasse sur les différents aplats de couleurs, les étire, pour trouver des courbes, faire apparaître ou disparaître des couleurs et obtenir des rappels de tons déjà présents sur la toile.

PARCOURS, TECHNIQUE & INSPIRATION

J’ai trempé dans la couleur dès mon plus jeune âge, les pieds dans le goémon et les mains libres pour traiter à grands coups de couteaux, largement chargés de matière, les bleus outremer et céruleum.

Mon premier métier de marin m’a ensuite permis d’affiner et de rendre plus vraies mes peintures. Tout au long de cette carrière, j’ai su travailler mon acuité visuelle, ma liberté d’interprétation et mon inspiration lors de mes nombreux voyages, maritimes en l’occurrence.

Je peints exclusivement au couteau. L’essentiel est alors le geste initial. C’est lui qui donne le mouvement et les courbes. Je me concentre sur l’essentiel. La spontanéité de mon geste suit mon regard. Je structure les masses, puis j’affine les détails, en usant de la diversité des formes et de la touche du couteau. Ma peinture se fait sculpture.

Mes œuvres colorées et pleines d’émotion sont le reflet de ma passion pour la Bretagne et notamment mes lieux de prédilection et d’inspiration que sont la baie de Morlaix, Carantec ou Pont-Aven et ses abers.

Les petits ports calmes où les bateaux se reflètent en ombres douces ou fortes, les baies, les estuaires sont traités à grands coups de couteaux, largement chargés de matière. Et puis il y a la mer, dans laquelle ondule encore parfois un reste de houle où frémit le vent.

UNE TOILE PAS À PAS…

Verum ad istam omnem orationem brevis est defensio

Siquis enim militarium vel honoratorum aut nobilis inter suos rumore tenus esset insimulatus fovisse partes hostiles, iniecto onere catenarum in modum beluae trahebatur et inimico urgente vel nullo, quasi sufficiente hoc solo, quod nominatus esset aut delatus aut postulatus, capite vel multatione bonorum aut insulari solitudine damnabatur.

Enim militarium vel honoratorum aut nobilis inter suos rumore tenus esset insimulatus fovisse partes hostiles, iniecto onere catenarum in modum.

Beluae trahebatur et inimico urgente vel nullo, quasi sufficiente hoc solo, quod nominatus esset aut delatus aut postulatus, capite vel multatione bonorum aut insulari solitudine damnabatur.

Militarium vel honoratorum aut nobilis inter suos rumore tenus esset insimulatus fovisse partes hostiles, iniecto onere catenarum in modum beluae trahebatur et inimico urgente vel nullo, quasi sufficiente hoc solo, quod nominatus esset aut delatus aut postulatus, capite vel multatione bonorum aut insulari solitudine damnabatur.

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